Dead Until Dark
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 Aby et Aidan

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2 participants
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Abygaïl Massarelli

Abygaïl Massarelli


Messages : 9
Date d'inscription : 23/04/2010

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MessageSujet: Aby et Aidan   Aby et Aidan I_icon_minitimeSam 24 Avr - 13:58

~ Identité. ~


Nom : Massarelli
Prénom : Abygaïl
Âge : 22 ans – réellement plus de 400 ans
Lieu de naissance : Italie


~ Caractère ~


Description mentale : Au premier abord, Abygaïl est une femme intelligente, érudite et calme. Mais lorsqu’on creuse un peu plus, on découvre une femme légèrement (mais alors…très légèrement…) psychopathe, ayant tendance aux hallucinations. Elle vit dans un mode proche du notre, mais très souvent en dehors de la réalité. Elle se réfugie dans un monde qu’elle a crée lorsqu’elle était encore enfant, vivant dans un fantasme que l’hallucination qui l’accompagne ne fait qu’entretenir.

« Je vis dans un monde
Qui n'existe pas
Sans toi je n'suis plus tout à fait moi »


Mythomanie, perversion, exhibitionnisme, sauront parfaitement la qualifier.
Elle est sadique, capable de tout, mais elle aime aussi avoir mal, prendre la position du dominé, tout en restant maîtresse de sa douleur.

« Je lis le mal que tu as, mais je t'en prie donne moi…
un peu de douleur »


Son esprit est ailleurs, loin de toute réalité... Ou plutôt, elle vit dans un monde qui n'existe que pour elle et son fantôme. Elle ne connait pas la peur... Meme, on se demande si tout sentiment dit humain lui sont connu... Elle est dangeureuse car ne connait ni la pitié, ni le remords, ni aucune limite...


~ Physique ~


Description physique : Abygaïl est grande et fine. Sa peau est pâle, bien loin de la peau mate de son père italien, elle tient bien d’avantage de sa mère, femme des pays de l’est.

« Que j’aime voir chère indolente, De ton corps si beau
Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau »


De longs cheveux bruns encadrent le visage d’Abygaïl, un visage qu’on pourra qualifier le plus souvent de froid, car rares sont les sourires qui viennent si afficher. Sa bouche est bien dessinée et lorsqu’elle se laisse aller à afficher un sourire, son visage s’illumine.

« Sur ta chevelure profonde, Aux âcres parfums
Mer odorante et vagabonde, Aux flots bleus et bruns »


Ses yeux peuvent varier de couleurs, passant du marron classique à l’or. Dans son regard on peut lire toute la confiance qu’elle a en elle, ainsi que cette même froideur face aux évènements.

« Tes yeux où rien ne se révèle, De doux ni d’amer
Sont deux bijoux froids où se mêlent, L’or avec le fer »


Elle sait mettre en valeur son corps. Aussi à l’aise dans des robes de soirée que toute vêtue de cuir. Elle aime jouer et choisi ses tenues en fonction de son humeur du jour, variant du classique au plus excentrique. Pourtant, le noir restera la couleur de prédilection de Madame Massarelli.

« À te voir marcher en cadence, Belle d’abandon
On dirait un serpent qui danse, Au bout d’un bâton »



Ce qu'il traîne toujours sur lui : Un couteau

~ Histoire~



Histoire :

Issue d’une grande famille, de mère allemande et père italien… Une enfance pas comme les autres

Des cris s’élèvent de la chambre à coucher de Madame. Son époux attend anxieux dans l’une de ses grandes pièces de pierre froide qu’on appelle salle commune. L’attente d’avoir son fils ainé, son héritier. Madame cri, hurle, la douleur est atroce et les soins qui lui sont prodigués, en plus des prières, ne lui sont d’aucun secours.
Après des heures de souffrance, elle donne enfin vie à son enfant… une fille. Si ce n’est l’accouchement, se fut les coups de son mari qui achevèrent la vie de Madame Massarelli, née Wilsenn.
Abygaïl sera élevée malgré tout dans la maison de son père, par sa nourrice. Il ne tardera pas à retrouver une épouse digne de lui donner un fils, à peine un an après la naissance d’Aby.

« Papa m’aime pas
Je déambule, je fais des bulles… Je somnambule
lalalalaa
Papa m’aime pas
Je fais des noeuds dans mes cheveux… Je fais ce que je veux
lalalalaa »

Abygaïl n’a jamais été touchée par son père, ni dans la tendresse, ni dans la souffrance. Elle n’existe pas… Elle n’est qu’une ombre qui rode, observant tout. Son frère lui, souffre… et sa douleur, ses cris ne font qu’accroître l’idolâtrie de la jeune enfant pour ce père qui n’en est plus un…Elle observe tapie dans le noir ou par le trou de la serrure… le claquement de la ceinture de cuir sur la peau fraîche de son petit frère. Les coups de bâton, de ceinture, l’odeur du sang l’enivre déjà…
Ce père violent devient un idéal, celui qu’elle veut séduire. Sa mère n’est plus, elle veut la remplacer, mais lui… il ne la repousse même pas, il l’ignore. Œdipe s’empare d’elle dès son plus jeune âge. Elle n’a pas tué sa mère de sa main, mais sa naissance l’a fait… Reste plus qu’à épouser son père… Non ?
« Papa m'aime pas
J ai dans la tête de drôles d'idées… Un plan futé...
Papa m'aime pas
Un coeur de pierre fera l'affaire... La fête des pères
Papa m'aime pas
Trois petits coups j'ai le coeur qui bat... Bonjour papa ! »

A peine ses 6 ans passés, son père se débarrasse d’elle. La voilà placée dans une école pour fille, un pensionnat de bonnes sœurs. La distance qu’il met entre eux est mal perçue par Abygaïl qui le prend comme le seul et unique moyen pour son père de résister à la tentation. Il n’en est rien, lui ne souhaite que se séparer de ce qu’il perçoit comme un boulet…
Là bas, Tout est neuf, tout est à essayer… Aby s’adonne déjà à des tortures toutes plus ou moins cruelles, sur les petits animaux qu’elle trouve dans les rues et jardins environnants. Une des filles de son dortoir est repartie chez elle, les cheveux coupés, et le corps couverts de blessures au couteau quelques jours auparavant… La peur s’empare des femmes et des filles… Pourtant Aby n’a pas peur, elle, elle sait … Elle, elle sait pourquoi il y a du sang sur le mur…

« Papa m'aime pas
Au nom du père fais ta prière... Les mains en l'air
lalalalaa »

Les années ont filé… Abygaïl ne passait plus que les étés chez elle, et ne voyait plus vraiment son père. Son frère lui parti à l’age de 12 ans, emporté par la tuberculose ou toute autre maladie mortelle de l’époque… quelle importance à présent. Elle restait donc seule, dans la grande demeure familiale, ayant pour seule compagnie les domestiques de la maison. Son père commençait juste à s’intéresser à elle alors qu’elle allait devenir une femme. À présent, son père comptait la marier. Ultime moyen de se débarrasser de la fille qu’il n’avait jamais désirer. C’est donc à 16 ans qu’Abygaïl Massarelli devint Madame James Arthur Everett, Un homme de quasi 30 ans, d’allure fade et totalement dépourvu de personnalité, qui l’emmènera dans un autre pays, l’Angleterre… tout aussi fade et dépourvu d’intérêt que celui qui l’emmène loin de son père.

« Papa m'aime pas
Trois petits coups et puis s'en va
Adieu papa !
Papa m'aime pas
Je pourrai jamais dire papa, Je n 'en ai pas...
lalalalaa »


Un « couple parfait »

Voilà cinq ans qu’elle est mariée à James… Un homme ne la touchant que pour assouvir son « devoir conjugal ». Dans l’espoir de voir apparaître l’héritier… Mais Aby ne semble pas faite pour les « joies » de la maternité. Pourtant, son goût pour le sexe n’est plus à démontrer, du moins, avec les hommes qu’elle côtoie en dehors du lit conjugal… alliant la douleur à la passion, mêlant le sang aux autres sécrétions. Cinq ans… Un millénaire aux yeux de la belle…
En cette soirée d’hiver, Abygail profitait de la fraîcheur extérieure pour assouvir son besoin de liberté… Mais, elle ne revint jamais auprès de son époux.
Ses pas l’avaient menée auprès d’un homme au charisme des plus enivrants… Elle s’était laissée aller à le suivre, sans crainte, ressentant presque un apaisement en sa présence.
Sans s’en rendre compte, elle avait un couteau en main et ses gestes étaient presque inconscients, noyés dans le plaisir qu’elle retirait de le voir ainsi jouer sur la peau de cet homme. Son inconnu, le maintenait, tandis qu’elle dessinait sur sa peau son prénom…
Aidan… Il est la perfection faite homme aux yeux d’Abygail. Il est fort, il est grand, il est beau… Bien que la beauté à ses yeux soit tout à fait suggestive. Mais il répond à ses fantasmes les plus secrets sans même un mot…

« Express yourself, don't repress yourself »

La nuit qu’il lui offrit restera à jamais graver dans sa mémoire, la douce douleur de son baiser, l’étreinte lui offrant un plaisir encore inconnu… et ce goût, ce sang coulant sur ses lèvres, dans sa gorge…

A son réveil, il était encore là, auprès d’elle, dans cette maison qu’elle ne connaissait pas et qui lui était pourtant si familière. Son regard sur le monde avait changé, devenant plus précis, découvrant des nuances qui lui avaient jusqu’alors échappées…
Elle était enfin ce qu’elle avait toujours rêvé d’être. Un être de puissance, un être de la nuit, jouissant d’une force et d’un charisme nullement comparable à ce qu’elle avait connu jusqu’ici. Son sire, est tout aussi violent qu’elle, mais jamais avec elle, mariant uniquement le plaisir de la chair dans sa globalité à celle qu’il a choisi comme compagne.

Avec Aidan, Abygail s’est découverte, a pu laisser parler sa vraie nature. Elle redécouvre le sexe, la passion, l’amour… Pour la première fois, elle a l’impression de vivre, de prendre conscience de sa vie. Plus de bride, plus d’attache… et pourtant, elle aime sentir son corps entraver, dominer par son amant. Avec lui, elle s’est ouverte à la vie… Plus d’amants pour combler un manque, juste des jeux, à plusieurs, sous l’œil attentif de son amour.

L’apprentissage… Un bien grand mot. Elle semble née pour être ce qu’elle est aujourd’hui. Le goût du sang, de la torture, de la mort. Elle aime ce qu’elle est devenue, elle aime son sire pour ce qu’il lui a donné…
Ses dons semblent s’éveiller à elle jour après jour… ou plutôt nuit après nuit.
Aucune entrave à sa liberté, mais plutôt une douce union entre ses deux amants terribles. Leurs jeux devenant mortels à quiconque se trouvait auprès deux.

« L’amour n’est rien, quand c’est politiquement correct…
On s'aime bien, On n' sait même pas quand on se blesse »

L’Europe est si belle, et ses fruits sont si juteux. Qu’il est agréable de se soumettre aux jeux de luxure en maniant un fouet ou en martyrisant la peau de ces êtres éphémères de la lame de son couteau.
La cour du roi soleil est une cible si parfaite ! Ils sont parfois si joueurs que ça en devient presque trop facile…
Sa classe due à son rang, ainsi que ses manières lui ont ouvert les portes de la haute société. Bien que tout cela ne soit qu’illusion et fausseté. Tout n’est qu’apparence alors qu’elle ne vit que par passion, préférant le concret… la douleur et le sang.

Son esprit est et a toujours été torturé… L’image de son père reste ancrée en elle et le claquement du cuir sur la peau fraîche. Aidan l’entraîne encore plus dans ses délires, lui offrant son poison doux, la fée verte…

« Dans le noir du venin
Ce qu'on est ce qu'on feint,
Dans le bleu de l'absinthe,
Chez les putes chez les saintes,
On se donne on se perd
A passer des frontières a traîner sous l'orage »

/Le fantôme de l’amour

Presque un siècle et demi… Le temps n’a plus d’emprise sur elle… Aucune nuit ne semble identique, elle semble renaître à chaque lune.
Son art s’est affiné. Elle est plus imaginative, plus indépendante. Son sire l’observe, prenant plaisir à la voir évoluer de la sorte. Elle est unique, elle est sienne sans pour autant lui appartenir jamais.
Cette nuit, elle a choisi une jeune vierge … et son corps, attaché au lit ne semble plus en état de bouger. Un souffle parvient encore à s’échapper de ses lèvres entre ouverte. Son mariage était pour demain ? Pauvre petite, elle ne sait pas encore la chance qu’elle a d’échapper à ce sacrilège, à cette terrible torture qu’est le mariage.
Ses chevilles, ses poignets sont attachés à chacun des pieds de son lit. Sur elle, à cheval. Aby, la robe en sang. Dans sa main, un couteau qui lacère la peau de la petite tandis qu’elle chantonne l’une de ses comptines…

Mon petit oiseau a pris sa volée… a pris sa… à la volette…

Voyages, meurtres, sang, tortures… 2 siècles d’intense plaisir pour celle qui a désormais oublié son nom… elle n’est plus qu’Abygail, ombre de la nuit, néfaste et pourtant enchanteresse…

Emportée par la passion et son goût du sang, emportée par le jeu…
Une nuit d’intense extase entre les bras de son sire… Son couteau, éternel ami de la belle, vient, sans qu’elle n’en est réellement commandité l’action, se planter dans le cœur de son amant.

Je n'comprends plus pourquoi
J'ai du sang sur mes doigts
Il faut que je te rassure
Je soignerai bien tes blessures, mon amour

Tu n'as plus vraiment le choix
Nos deux corps étendus, là
Qu'à l'aube ils se mélangent
Là tu as les yeux d'un ange, mon amour

Immobilité. Comme ce jeu est amusant… Recommencer, encore toujours…
Sa lame s’abat sur lui, le vidant doucement du sang qu’ils ont partagé cette nuit, pour finalement entailler sa gorge, encore, toujours, plus profond… oui encore…
La jouissance l’emporte sans qu’elle ne réalise son geste… le corps retombe… vidé, sans vie… Elle le cherche… et trouve son visage trop lointain…

Moment d’égarement, simple moment d’égarement…


Je n'comprends plus pourquoi
J'ai du sang sur mes doigts
Dors en paix je t'assure
Je veillerai ta sépulture, mon amour

C'était plus fort que moi
Même si je sens là l'effroi
Envahir tout mon être
Je te rejoindrai peut-être, mon amour

Aidan est là… près d’elle, en permanence… Mais à présent, elle est la seule à le voir.
Elle ne ressent pas le manque de son amant, il est là, toujours auprès d’elle, lui murmurant des mots doux, l’entraînant toujours plus profondément dans sa douce folie.


Une ère nouvelle

Comme l’homme peut être inventif ! La vie devient de plus en plus attrayante, l’électricité est maintenant bien présente et un jeu si marrant. Qu’il est drôle de s’en servir sur ces chatons !

Le 21eme siècle… et ses machines. On aurait pu croire que l’innocente Abygaïl se sentirait perdu… Non… elle a découvert durant le dernier siècle le pouvoir de la torture mentale… presque aussi plaisante que la torture physique.
Mais voilà quelques nuits que son sire lui souffle qu’il existe un lieu pas comme les autres….
Il s’agit alors pour Aby d’une quête pour trouver ce lieu, emprunt de mystère…

L’hirondelle apporte le printemps et les bonnes nouvelles… La nouvelle vient de Louisiane... Les vampires semblent tant s'y amuser! Il est grand temps pour Aby de suivre Aidan jusque là bas...



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Messages : 95
Date d'inscription : 26/03/2010

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MessageSujet: Re: Aby et Aidan   Aby et Aidan I_icon_minitimeLun 26 Avr - 0:40

Bonsoir Madame,

Puisse ce lieu vous apporter jouissance et amusement, mais gare à vous, vous n'aurez point que des amis en ces lieux.
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